Ageca est l’un des lieux associatifs les plus emblématiques de Paris. C’est une association qui gère plus de 700 m2 de salles de réunion au 177 rue de Charonne, Paris 11ème.
Selon Le Canard Enchaîné du mercredi 30 mai 2018, l’Archevêché a pris la décision de fermer cette institution qui a vu défiler depuis 45 ans, des générations de militants associatifs ou politiques.
Il faut préciser selon le journal que l’Association Ageca est sommée de rendre les clés à l’autre Association Diocésaine de Paris (ADP) gérant des lieux, Le 30 juin prochain. De 30 000 euros de loyers annuels, ADP l’a autoritairement augmenté à 95 000 euros annuellement. Ce à quoi Ageca ne pourra faire face.
Est-ce simplement pour une affaire de sous ou pour se débarrasser d’associations d’activistes de tous bords, s’interroge le Palmipède?
Pour mémoire, Ageca est la salle mytique où se réunissent les Djikiyeu pour la majorité de leurs activités culturelles sous la bannière de l’Adera l’association de notre frère Ablé Suku.
Si cette fermeture devenait effective, les Djikiyeu rencontreront un sérieux problème de rassemblement à la rentrée. Avis donc aux responsables d’associations Djikiyeu pour imaginer des solutions de substitution. Qu’il soit trouvé une solution entre Ageca et ADP car cela ressemble fort à un bras de fer entre le bras gauche et le bras bras droit d’un même corps et à une montée des enchères de la part du bras le plus soutenu ou fortement armé, il évident que les salles reviendront dorénavant chères et que leurs conditions d’accès seront rendues très difficiles aux associations non désirées et aussi démunies.
Une autre structure remplace Ageca et ce sera fini de toutes les associations caricatives dont l’accès à la structure sera hors de prix et donc de portée. Chers présidents, anticipez dès maintenant, sinon mur devant!
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