Hâthoh Whana GloKBo,
Zikisso, laboratoire de développement durable, à la pointe de la politique de la réconciliation, n’en est pas à son premier coup.
Le Conseil de développement local intégré est une entité de proposition de formulation ou reformulation des avis. Il travaille sur le terrain, collecte des informations qui engagent l’avenir de notre localité et fait des propositions en harmonie avec la société qu’elle consulte souvent. Il représente donc la société civile à Zikisso.
Il est le prolongement du Collectif des Chefs Traditionnels du Ziki qui le supplante localement.
Le Collectif des Chefs Traditionnels du Ziki est la meilleure structure qu’on ait jamais élaborée à l’échelle d’une localité, représentative ici des Djikiyeu dans leur ensemble. Un village, un chef pour garantir l’organisation coutumière des populations constituées. Un collectif, un chef par village en son sein, pour défendre puissamment l’unité et les intérêts du peuple Djikiyeu dans une fraternelle et parfaite alchimie où la tradition et la modernité fusionneraient en un développement harmonieux. En cela, le collectif des Chefs Traditionnels est une œuvre accomplie dans l’univers des organisations créées ou à venir. Il est le garant de nos racines ancestrales.
Le Conseil local de développement intégré serait une structure représentative de nouvelles énergies potentielles de développement territorial. il aura essentiellement pour objectifs de donner des avis et faire des propositions aux élus locaux, au département, s’il devrait à nouveau y en avoir, à la région et aux représentants de l’Etat. Il pourrait être composé de toute personne désireuse d’apporter sa petite pierre à l’édification territoriale Djikiyeu. Il est bien évident qu’il ne doit pas être confondu avec l’Assemblée Djikiyeu qui a fait l’objet d’une publication antérieure.
A la bonté du cœur, à la beauté des œuvres, l’esquisse nous appelle au devoir de participer,
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