Au fait, que dire de cette jeunesse? Que constatons-nous tous que ces quelques lignes pourraient traduire ?
En quoi cette jeunesse est-elle différente de la jeunesse ivoirienne ? A-t-elle une particularité qu’elle pourrait mettre au service de la communauté et partant au service de la nation ?
Est-ce que nous lui donnons l’opportunité de s’exprimer ?
Mettons-nous à sa disposition les cadres et les moyens pour cette expression ?
Autant de questions qu’on pourrait égrener indéfiniment.
Quelle jeunesse voulons-nous et pour quel développement ?
Quelle jeunesse voulons-nous pour nos ambitions et nos attentes ?
Oui ! Quelle jeunesse ?
Elle est belle notre jeunesse. Elle mérite qu’on lui porte de l’intérêt. Elle mérite qu’on lui fasse confiance. Elle mérite qu’on la guide dans un monde d’enjeux nouveaux.
C’est mon cri. C’est leurs cris. C’est notre cri.
Il y aurait-il une oreille attentive à ces cris ?
C’est mon espérance. Ce doit être notre défi.
Le jeune est l’être qui n’est ni enfant ni adulte mais qui possède une certaine maturité. La jeunesse constitue pour l’être humain la période où il se forme, où il vit projeté vers l’avenir et/ou prenant conscience de ses potentialités, il bâtit ses projets pour l’âge adulte.
Que force reste à la jeunesse !
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