– Oui, mon chéri.
– Quand j’ai été licencié, tu étais là.
– Oui, mon chéri.
– Quand notre maison a brûlé, tu étais là.
– Oui, mon chéri.
– Quand je me suis cassé la jambe au ski, tu étais là.
– Oui, mon chéri.
– Tu sais quoi ?
– Quoi donc, mon amour ? demande sa femme, attendrie.
– Je crois que tu me portes la poisse !
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