A l’échelle des initiés, nous sommes passés de GloKbo, GloKboïKoh, GloKboïPlan à aujourd’hui, GloKboïPah pour parachever notre œuvre de construction.
Pour ceux qui ne m’auraient pas suivi, je reviens sur les différents mots ci-dessus, abordés dans les trois précédents sujets que sont GloKbo 1, GloKbo 2 et GloKbo 3.
Ainsi, avons-nous démontré en ce qui concerne GloKbo qu’il était notre paradis. GloKbo peut être un domaine, un faubourg, un canton, un département, une région, un pays, un continen enfin la terre des ancêtres. Tout GloKbo étant donc terrestre, nous pouvons professer que tout GloKbo est d’abord et avant tout un paradis terrestre à préserver par tous les moyens. Le perdre par notre faute nous causerait beaucoup de soucis car comme le disait Houphouët, “Le vrai bonheur, on ne l’apprécie que lorsqu’on l’a perdu”.
Qu’en est-il de GloKboïKoh ?
De l’intérêt capital de GloKbo, salutaire en tout et pour tout, GloKboïKoh est d’ordre nucléaire en tout état de fait, composé d’innombrables centrales nucléaires. Il est notre couche de protection fondamentale et complète en tout point de vue. C’est l’élément essentiel qui intercède auprès auprès de la création.
Sous d’autres cieux, à d’autres époques, l’on a avancé le nom de Ange Gabriel, les Anges, les Djins, les Génies et près de nous, Zapayoro. GloKboïkoh est ainsi défini par la puissance étrangère se dégageant de bénéfiques façons de la propriété GloKboh, le présent de l’indicatif. GloKbo est la source, GloKboïKoh en est la mise en valeur. Il est l’Open-Source, la source vitale. Etranger, il n’est pourtant pas étranger à notre bonheur ni étrange à nous car étant surtout un être ange pour toujours.
A suivre,
Article en cours de rédaction,
Le Président GNADOU Dano Zady
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