DADI SYLVIE : La vie n’est pas simple de nos jours, il ne faut jamais baisser les bras
Dans un mois d’août où la météo joue actuellement au yoyo, une étincelle phocéenne est venue , de Grenoble, illuminer notre quotidien et réchauffer nos cœurs, en postant sur son mur, une magnifique photo qui traduit la pleine mesure de sa beauté. Ivoir’ Press a retrouvé pour vous Dadi Sylvie, la lumière de ce mois d’août, la différentiation absolument essentielle. Pour vous chers lecteurs, elle nous a accordé un entretien exclusif. Questions !
Ivoir’ Press : Bonjour Mme Dadi, Pourriez-vous, vous présenter à nos lecteurs?
DADI SYLVIE : Bonjour chers lecteurs je suis Mme Houanyou Sylvie née Dadi je suis originaire d’Olirédou s/p de zikisso.
:Grâce à zikisso.com/ nous avons découvert une femme belle et épanouie. Quel est votre secret Mme Dadi?
Très simple, mon secret à moi, le sourire. Vous ne me verrez jamais me plaindre. Je prends toujours la vie du bon côté.
:Nous sommes dans la période des grandes vacances. Où passez-vous les vôtres?
:Bonjour Grenoble ! Certaines femmes de votre communauté deviennent de plus en plus des artistes confirmées Telle que Ablé Marie-Claire, Akra Djina, Aka Betty pour ne citer que celles-là. Voudriez- vous leur emboitez le pas ou le faites-vous déjà ? Après tout, une très belle femme comme vous, doit posséder une très belle voix?
Malheureusement non, je n’ai pas ce don là, mais j’encourage ces sœurs-là dans ce qu’elles font.
:Merci pour votre générosité. Quel est alors le projet qui vous tient à cœur, sur lequel vous bossez ou vous aimeriez travailler?
En ce moment, je veux bâtir une belle maison à Zikisso et comme pour le moment nous finissons la maison familiale après on verra les projets. J’en ai pleins la tête mais il faut mieux pour le moment ne rien dire. Je mets tout dans les mains de Dieu. Merci.
: Vous êtes d’Olirédou sous-préfecture de Zikisso. Voudriez-vous partager avec nos lecteurs, votre parcours, jusqu’à Marseille, la cité phocéenne?
Toute mon enfance je l’ai passée à Abidjan. Après, pour les études, j’étais à Boundiali. Je suis venue en France à l’âge de 17 ans. C’était en novembre 1989 et depuis je n’ai pas bougé de Marseille. J’espère que j’ai répondu à vos questions.
:Quels conseils donneriez-vous aux jeunes générations?
Moi-même, j’ai 3 enfants dont l’aînée a 20 ans. L’école est importante ; il faut étudier d’abord. Avoir son diplôme, c’est très important. La vie n’est pas simple de nos jours. Il faut se battre pour réussir. La vie est un combat, il ne faut jamais baisser les bras.
: Un message, une salutation particulière?
D’abord, vous en premier, je vous remercie pour l’opportunité que vous me donnez pour m’exprimer. Le salut vous revient ainsi qu’à tous mes frères et sœurs de Zikisso. Que le seigneur les fortifie. Merci.
J’embrasse mon frère Dadi Mathias et ma sœur chez qui je passe mon séjour. Bonne journée mon frère. A bientôt.
:Merci Mme Dadi, ma sœur et belle-sœur. Ivoir’ Press vous remercie pour votre disponibilité et votre bonté. A bientôt pour d’autres aventures médiatiques.
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