La meilleure chanson de la politique est de loin “Le renard passe, passe, chacun à son tour, chez le coiffeur…“. Cet article fait effectivement suite à celui dont le titre “Les règles du jeu politique à Zikisso” avait déjà posé les jalons de ce qui va suivre notamment dans le domaine de l’organisation de la politique locale à Zikisso.
Il est regrettable de constater que sur cette carte ci-dessus, le tronçon Djidji-Bessaboua (Djidji-Kbessabley) n’existe plus et cela n’émeut personne. Combien en avons-nous comme cela de tronçons passés à la trappe?
Dans le précédent article, il avait été question de savoir vivre dans le respect des règles fondamentales de la politique : Ceux qui gouvernent doivent avoir les coudées franches pour le faire. Ils doivent gouverner en ayant surtout en mémoire que tout pourrait changer du jour au lendemain à leur dépend d’où la nécessité de gouverner avec circonspection dans le respect et la considération de ceux qui leur disputent le pouvoir par essence impersonnel et indomptable.
Je veux dire ici à mes frères et sœurs aux affaires aujourd’hui, combien est grande ma joie de les voir assumer de si grandes responsabilités. Je voudrais aussi leur rappeler la maxime de Diogène : “N’oublie pas que tu es un homme!” Je les exhorte à continuer à agir dans le sens de l’intérêt supérieur du Pays de Zikisso. J’aimerais aussi conseiller à ceux qui les approchent, souvent comme compagnons de route, de chercher constamment leur bonheur, leur donnant les meilleurs préceptes de travail pour le développement intégré de notre bien commun.
Un protocole d’accord dans ce sens entre les fils et les filles de Zikisso, ne serait pas mauvais en soi. Un protocole qui définirait parfaitement la façon dont toutes les têtes pensantes et influentes de Zikisso travailleraient en synergie pour un développement indispensable, intégré et intégrable.
A suivre,
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