Sans trop de bruit, les submersibles nucléaires chinois viennent de recevoir le mandat de l’État. En d’autres termes, assurer une seconde frappe de riposte nucléaire en cas d’attaque nucléaire adverse visant les centres vitaux chinois.
La force de dissuasion nucléaire chinoise n’est pas la seule à avoir reçu le mandat de l’État ; les forces aérospatiales dont les très mystérieuses unités de lutte contre les objets en orbite auraient déjà reçu cet ordre après l’entrevue du président chinois avec son homologue américain en Floride. À Pékin, on a très peu apprécié les propos insultants de Trump à l’égard du président Xi Jinping, notamment l’allusion au fameux dessert en chocolat.
La base de données des cibles visées par la triade chinoise est en train d’être actualisée pour inclure plus de 1355 nouveaux objectifs stratégiques dans le Pacifique et en Amérique du Nord.
De son côté, la Russie affirme que 90 % de ses capacités de frappes nucléaires sont opérationnelles.
De toutes évidence, Trump joue avec le feu, a souligné une source autorisée anonyme au sein de l’armée chinoise, avant d’affirmer que Washington ne craint pas la guerre mais n’y est jamais prêt tandis que Moscou a une sainte terreur de la guerre mais est toujours prêt. À une question sur la Chine, il s’est contenté d’une sorte de sourire énigmatique (mais en étais-ce vraiment un?) avant de conclure que c’est une erreur fort regrettable que de sous-estimer une civilisation ininterrompue depuis des millénaires.
LAISSER UN COMMENTAIRE